À la dérive

Cela fessait déjà une semaine que Wallace avait quitté son pays d'Hallstat en bateau en direction des Royaumes de Vaegirs. Dans un navire aussi petit qu'une barque de pêcheur, c'était pour lui l'impression d'une véritable sentence de mort de naviguer à travers une aussi petite embarcation sur l'océan, les vivres commençais déjà à manquer, cela fessait trop longtemps qu'il n'avait pas mangé de la nourriture qui pouvait être digéré correctement. Déjà le capitaine du navire commençais à regretter d'avoir pris Wallace comme passager, qui d'habitude, n'avait pas autant de vents aussi violents. Puis, à la fin cette longue semaine, au début de la journée, il a cessé d'avoir le souffle du vent, aucun brise, rien. Le bateau était désormais à la dérive, à la merci des courants marins, le bateau à dériver ainsi de sa trajectoire pendant plus de deux jours, à ce moment, les vivres était épuisé, l'eau était inexistante, certains marins commençais même à boire de leur propre urine, puis dans la soirée, le vent resurgit, mais dans la forme d'un cyclone, le bateau était aspiré par le cyclone. Wallace s'agrippa de toutes ses forces à l'embarcation, le vent propulsa le navire et ses habitants à des centaines de kilomètres au loin, dès que le bateau retomba vers l'eau, Wallace se percuta la tête sur l'embarcation.

Wallace se réveilla, accrocher auprès d'une latte en bois, l'océan était désormais calme et le vent soufflait tout doucement, telle une caresse. Selon lui, tout était perdu, il voyait les débris du navire qui flottait en même direction de lui, mais rien du capitaine ni des marins. À première vue, il était le seul survivant, au beau milieu de l'océan. Pendant qu'il se refermait sur lui, le bruit des mouettes le surpris, Wallace était proche de la côte finalement ! Il commença à propulsé sa latte de bois et son corps tout endoloris avec ses jambes, jusqu'à temps qu'il réussisse à apercevoir terre en vue, il fut soulagé et il réussit après quelques minutes intensif à nager à arriver au rivage.

Il arriva sur la terre, il commença à tousser intensément, il commençais à boité difficilement vers plus haut sur la plage, jusqu'à temps que la fatigue le repris, car il n'eut aucun répits depuis trop longtemps, qu'il s'effondra et s'endormit en plein jour, tête la première sur le sable, avec les débris de son bateau qui le rejoignent à l'horizon.

Pendant se temps Musashi , était avec une partie de sont armées environ 20 hommes tout au plus , il cherché un jeune dragon qui aurai brûler des champs d’un petit village , Musashi comprenant la famine et les difficultés de ceux dit village pris pour décision de les aidés , il voulait y allez seul mais ses hommes aussi fidèle soit-ils l’ont suivit.
Musashi et ses hommes était donc en train de traqué cette dite bête qui serait selon le contrat un dragon de couleur bleu et blanc , d’une taille moyenne , avec des écailles assez résistance pour un dragon de se niveau .
Musashi était comme toujours accompagné de son fidèle compagnon Renji le loup blanc . Musashi donc monté sur son fidèle compagnon avancé avec les hommes se dirigeant vers la plage , il c’était divisé en 2 groupes .
Musashi se disé que le monde ne change pas dans le meilleur des cas , et que cela ne faisais que dégénéré , se qui ne fit qu’augmenté son désir de réunifié le pays .
Quelque minute passa et un des hommes de Musashi , le caporal Tsuna , courru vers le groupe de Musashi disant avoir trouvé un cadavre d’un homme qui était assez bizarre .
Musashi rebroussa chemin et se dirigea vers se dit cadavre , le soleil était au zénith il faisait assez chaud , et le vent était léger . Musashi arriva sur le lieu et vu un homme inconscient il vu tout de suite que l’homme n’était pas mort , il dit a ses hommes de prendre une de leur fourrure de le posé dessus , et d’inspecté si il n’y a pas de blessure apparente , puis commença a essayé de réveillé ce mystérieux homme .

Les hommes de Musashi commencèrent à s'approcher de l'homme de deux mètres, avec une carrure impressionnante, mais plus impressionnante que sa taille était la gravité de ses blessures. Wallace saignais abondamment du crane, du bras et des jambes, certaines parties commençais déjà à se cicatrisé à cause du sel de mer, sa cotte de maille était complètement enrailler et certaines parties étaient même manquante.

Wallace, au moment que les hommes de Musashi l'inspectèrent, il était depuis déjà longtemps dans les bras de Morphée, il rêvait, il n'avait pas échoué sur l'île dans le monde des rêves, il était persuadé, qu'il ne s'agissait que d'un mauvais cauchemars. Jamais il n'avait quitté son ami, il était toujours maréchal du royaume d'Hallstat. Il avançait fièrement dans la salle du trône, il fessait sa révérence au roi, puis s'assoyait aux côtés des autres seigneurs et ils commencèrent à festoyer... Comme si ... Rien n'avait ... Changer. Comme si rien... n'allait jamais changer.

- Seigneur Musashi ! L'homme semble être gravement blessé ! Devons-nous l'aider ?

Cette voix, il l'entendu au plus profond de son rêve, avant que tous les gens à la court du roi comencèrent à disparaître dans les ombres, avec la voix du roi qui lui disait : << Je te banis. Pourquoi m'as-tu trahit ? >> qui résonnait, qui résonnerait et qui allait pour toujours hanter Wallace, puis la voix de l'extérieur repris.

- Ses blessures sont grave, mais ils ne sont pas mortelle... Avec des cataplasmes ou une bonne potion de soin, nous devrions être capable de le guérir à temps.

Wallace commença à rouvrir les yeux tranquillement, sans rien savoir où il était, le soleil, même s'il était à son zénith aveuglait Wallace, tout ce qu'il pouvait voir c'était la silhouette d'un homme, à la carrure aussi imposante que la sienne, sinon plus grand encore.

Musashi donna des ordres d’un ton sec et sur de lui a ses hommes :
Administré lui la dernière potion de soin supérieur que nous avons eu en tuant le groupe de bandit au nord d’ici .
Bien seigneur Musashi .
Le caporal donna la potion a l’homme en lui donnant petit a petit , puis il mis une pommade a base d’herbe que seul le clan connaissait , qui permet a la cicatrisation de s’accéleré , et fini par mettre des bandages dessus ses blessures .
Musashi observé cette homme , et commença se posé des question cette carrure importante et cette taille ne resta pas vite oublié et Musashi se demandé si cette homme n’est pas un grand guerrier , il essayé de prévoir un éventuel dialogue pour que cette homme rejoigne ses rangs .
Par la suite Musashi enleva les pièces d’armures abimées de l’homme qui devait encombrer sa respiration et se mit face au soleil pour évité qu’il ne lui provoque en plus des nausées ou un évanouissement supplémentaire , et attend que l’homme reprend conscience .

Ce jour-là, la chaleur se faisait ressentir, les rayons de l'astre se reflétaient sur les vagues,
et même sous les arbres la chaleur semblait rire sous le nez des passants. Pourtant une petit brise semblait persister à vouloir rafraichir l'atmosphère. La jeune céleste survolait le pays, la plupart du paysage était encore comme endormie sous la chaleur. Elle remontais vers les rives. La terre commençait à se dessiner, simple plage, lécher continuellement par des vagues, brisant leurs écumes inlassablement. La plage avait une forme légèrement incurvée, longue, sableuse et peu rocheuse sur sa majorité.

Ahès survolait la mer dans aucun but précis, n'étant que de passage dans le village le plus proche, elle était en fait ici pour voir s'il y avait des propositions de quêtes. Mais les temps étant calme, elle n'avait pas grand-chose à faire, pour ne pas dire rien. Avec la canicule qui était tombée dans la région, peu de monde s'occuper à autre chose qu'à une bonne sieste et un bon verre. Elle avait pris alors la direction de la mer, l'étendue bleue et calme permettant parfois de réfléchir.

Le calme de l'eau, l'avait apaisée, on semblait y deviner des visages et des souvenirs, des histoires du passé. Un nombre important des héros avait pu trouver ici la mort, ou la gloire. Et pourtant la mer elle ne semblait pas y prêter attention, toujours calme et impassible, ne semblant être irritée que par les cieux, en rentrant dans une rage folle quand ce ceux-ci troublaient son calme ...

Elle plongea en pique, vers l'étendue, la voyant se rapprocher rapidement et dangereusement, puis d'un brusque coup d'ailes, elle se stabilisa juste au-dessus. Le regard perdu dans les remous que provoqué, l'air que propulsé ses ailes.
Il était si simple de perturber peu de choses, on pouvait ou en être blasé ou en trouver un certain plaisir.
Difficile de dire ce qu'il était pour la jeune femme.

Elle décida qu'il était temps de retourner à la rive et d'un battement puissant, repris un peu d'altitude, avant de se diriger vers les rivages.

Les courants aériens avait dû la décaler ; car elle ne reconnaissait pas la plage, contrairement à celle d'où elle était partie, celle-ci était jonché de morceau de bois, qui sans aucun doute devait venir d'une embarcation. Cette dernière avait dû sombrer emportant encore de nombreux souvenirs dans les fonds marins. Les vagues semblaient jouer avec en les taquinant.
Elle se pausa sur la plage, l'atterrissage, laissa une marque éphémère que les vagues s'empressèrent d'effacer. Elle ne s'était pas pausé pour se reposer, son but premier étant de rentrer directement. Elle ne souffrait pas de la chaleur, car elle ne portait pas son armure, elle n'avait pas de raison elle était en simple visite de routine, elle n'avait que son arc et flèche, quelle ne quittait que rarement. Non la raison était tout autre, elle avait aperçu un étrange petit groupe au milieu des décombres. En s"approchant, elle vit se dessiner un homme à terre, apparemment un petit groupe de personnes semblaient s'activer autour.
Elle se dirigea vers eux.

Une fois à leur hauteur, elle remarqua qu'un étrange remède avait été utilisé pour penser les plaies et bleus de l'homme et qu'il semblait ouvrir les yeux, mais sans montrer une grande réaction qu'un regard vitreux et perdu.

Elle toisa le groupe et décida qu'elle pouvait faire quelque chose. Elle dit d'une voix distincte qui ne laisse pas de choix, ni de temps pour la question :

- Cela ne suffira pas, écartez vous.

Elle remplie la distance qu'il restait entre elle et l'homme, se pencha sur lui, elle sortie une petite gourde de Cervoise, appuyant doucement sur le front de l'homme, lui inclina la tête en arrière, elle lui ouvrit la bouche, ses lèvres étaient rugueuses et séchée par le sel de la mer et le soleil. Si cela marchait pour ses hommes celui-ci n'était pas plus différent, ci-ce n'est la carrure. Elle versa une grosse gorgée de la cervoise dans la bouche de l'homme, puis l'obligea à l'avaler. Elle reboucha la gourde, le niveau de liquide semblait avoir à peine baissé, mais elle ne le rangea pas, se doutant que l'homme en voudrait surement davantage.

Wallace sentait son lourd corps se faire remuer de tous les bords, il pouvait sentir ses plaies démanger horriblement avec ce que les hommes lui on mît sur ceux-ci, jusqu'à temps qu'il soit mis sur le dos et qu'alors le soleil l'aveuglait totalement, mais alors qu'il pensa fermer ses yeux, une silhouette d'une femme bloqua le soleil, sa longue chevelure de couleur noisette tombais lacement, son visage fragile avec des sourcils délicat et un sourire vraiment subtil, c'était son premier visage qu'il aperçût depuis sa dérive dans l'océan, elle approcha des lèvres de Wallace une gourde remplit de cervoise, il eut le sentiment d'être de nouveau à lui. L'alcool, délectable nectar qui sût le ramener. Pourtant, jamais l'alcool ne fût aussi amère que lorsqu'il aperçût, les ailes de la femme, qui s'éloignait de lui. Un ange, est-ce que Wallace était-t-il mort ? Après tout, cela ferais du sens après l'immense tempête de l'autre soir.

Mais, Wallace voulu se lever trop brusquement, mais resta bloqué sur son séant, sa vision commençais à revenir, déjà tout son corps voulait davantage d'alcool. Des hommes armé l'entouraient, un ange était toute proche de lui et un peu à l'écart il y avait l'homme de carrure similaire à la sienne. L'ange tenait de l'alcool dans sa main, peut-être s'était l'ange de la cervoise, pensa-t-il. Puis, il réussi à se calmer, les gens voyais bien qu'il était pris de panique. Il commença à tousser frénétiquement et essaya de formuler une phrase. Dans une petite phrase incohérente rempli de balbutiement et d'hésitation le très peu qu'on puisse comprendre se traduisait à :

- ... Est-ce que je suis mort... ?

Puis il toussa et essuya son front qui coulait toujours un peu, mais ses plaies était presque guérit à cause de la potion étrange. Avant même de pensé à demander où il était réellement, il se ressaya de nouveau à parler et il réussit à dire sans problème :

- Merci beaucoup ange de la cervoise de m'avoir conduit au paradis, mais en toute humilité, puis-je ravoir d'autre alcool ?

Musashi resta de marbre sur l’action , mais ne pouvais s’empécher de regardé Ahès , il lui trouvé peut être un charme mais a son habitude n’exprima aucun sentiment et fit un léger son pour exprimé ceux qui venez de se passer .
Puis il se tourna de nouveau vers l’homme et lui répondit :

Non vous n’ètes pas mort pas du tout , vous ètes actuellement sur la plage d'Erraüss , au royaume d’Agaldün , il semble que votre voyage n’a pas été des plus doux .

Puis il pris une gourde d’alcool sur un des chevaux d’un de ses hommes et la donna a l’homme qui la fixé sans en boire tout de suite .
Puis il regarda la céleste et la félicita pour ce remède qu’elle lui donna .
Il demande a l’homme :

Comment vous appelé vous chevalier ? Que recherchez vous ? ( D’un ton sec et calme a son habitude sans exprimé aucun sentiment ).
Voulais vous une chose quelquonque afin de vous remettre plus rapidement ? Je peux vous fournir quelque bien et ration .

Il enchaina en parlant a la demoiselle :
Et vous qui ètes vous ? Que venez vous faire en des temps aussi troublé dans un lieu aussi dangereux ?

Puis Musashi appela un soldat et lui demanda de prendre quelque ration sur un des chevaux du groupe et de réunir le reste des hommes .

Le soleil était a se moment au dessus de Musashi faisant brillé ses cheveux couleur or et des reflet sorté des cornes en bandeau sur son front , son armure azur devez le tenir chaud mais il n’exprimait aucun dérangement , la chaleur semblé ne pas l’atteindre .

l'homme a demandé comment le naufragé s'appelle, c'est donc qu'il ne le connait pas. Comment s'avait t'il donc qu'il était ici ?

Elle fixait l'accidenté, il ne semblait pas encore totalement remis et sa soif semblait loin d'être comblée.

De l'alcool, il en reste encore oui, mais je connais un endroit où vous pourrez en trouver pour étancher la soif et les émotions. Vous ne trouverez pas que boisson, mais aussi nourriture et lit.

Elle se tourna ensuite vers l'apparent dirigeant de l'étrange cortège. Il semblait curieux pour son statut. Il ne devait pas avoir trop d'âge. Elle lui répondit sur un ton monocorde :

Je ne donne pas mon nom sans connaitre celui de mon interlocuteur, un nom est source d'information. Ce que je fais en ce lieu, je fais mon devoir et vous, vous semblez bien accompagnez je me dois de vous retourner vos questions.

Elle observa les hommes calmes, un à un. Il semblait porter un intérêt moindre à la conversation, il attendait juste patiemment et calmement les ordres. Avaient t'ils seulement un avis sur les évènements , était-ce juste un masque, ou cela leurs étaient-ils égal ?

Pouvais t'on les comparer à ses propres hommes ? L'âge devait creuser un foncé entre les deux, difficile de savoirs si leurs réactions étaient comparables.

Elle se pencha à nouveau vers l'homme la gourde toujours à la main. Lui proposant aussi.
Il l'intriguait quel était sa vue de la situation. Tout être normal aurait dû être bousculé de questions, de peur et d'excitation. Ou était t'il simplement encore sonné ? Où blasé ? Dernière hypothèse sa façon de réagir était d'une différence du à la culture.

Si vous le souhaitez, je peux vous conduire là où vous pourrez boire et vous repauser, Aerandir.

Wallace commençais à saisir ce qui se passait et par qui, il était entouré. Il semblerait qu'il soit en majeur parti entouré d'humain étranges, qui ressemble à des soldats et deux personnes qui seraient des anges, à ce que leurs apparences pourraient laisser croire, mais ceux-ci disent que Wallace n'est pas encore mort. Alors, il est évident que quelque chose cloche, ce qui semble le plus probable c'est que l'heure de Wallace n'était pas encore arrivé. Peut-être, ses anges étaient ceux qui sauvent les naufragés ou peut-être que Wallace manquais d'alcool et d'un bon lit chaud. Serait-il que la chance, mais l'ange qui lui avait donné de la cervoise, dit qu'elle connaissait un endroit pour se reposer, pour manger plus que de la nourriture sèche. La vision de Wallace semblait de mieux en mieux aller, pourtant, il pouvait maintenant sentir que ses blessures lui fessait atrocement mal, comment il avait faim et surtout combien il était fatigué.

- Que le Tout-Puissant sois loué... Anges, écouté prières et emmenez-moi dans une auberge...

Tout ceci commencez a lassé Musashi .
Il voyait que l'homme inconnu portez plus d'entrain envers la jeune femme , il décida donc juste de se présentez et de repartir pour sa mission.

Je me présente Musashi Soki , Chef du Clan Bushido , dirigeant du petit pays qu'est le Bushido .
Je suis actuellement ici a la recherche d'un jeune dragon pour une mission .
Je vais donc vous laissé a vos occupations , je vous laisse un cheval jeune chevalier pour que vous puissiez rejoindre cette dite auberge auprès de cette jeune femme .

Puis Musashi chargea un de ses hommes de donné son cheval , il monterait derrière Musashi .
Il donna un très beau cheval noir au chevalier et lui dit que cette bête était l'une des meilleurs de son pays . Puis il siffla d'un coup sec et son loup se mis en posture pour que Musashi puisse le monté .
Musashi monta et commença a trottiné vers le sud de la plage .