Ils quittèrent calmement l’auberge, le ventre plein et rempli du désire de l’aventure, ils firent leurs provisions et leurs besoins. Dans le lot des objets qu’ils avaient acheté, il y avait deux tentes, deux chevales, assez de nourriture pour le voyage aller et retour, Wallace se prit une petit épée en cas d’attaque et il prit aussi trois litre d’alcool, qu’il cacha immédiatement, une fois l’avoir payé dans sa couchette. Une fois les préparations terminées, le duo partirent au crépuscule.
Ils voyagèrent dans une forêt luxuriante pendant quelques heures et puis, rapidement, les plantes commençaient à disparaître pour laisser place à un désert complètement blanc. Wallace se questionna, est-ce que le sable était de la neige ? Il la prit dans ses mains et non, c’était réellement du sable chaud, c’était incroyable. Le sable était immaculé, comme si aucun vent ne pouvais crée des vagues dans le sable, le vent était calme et la nuit commençais à prendre le dessus, très rapidement, le chaud désert laissa place à un froid incomparable.
Le ciel noir et sombre, parsemé d’étoile, qui brillait de concert avec la lune et les derniers rayons du soleil. Wallace essaya de se repéré avec les étoiles et chercha en vain la grande ours, qui aurais pu lui indiquer où était le nord… mais sans chance.
À chaque pas, les empreintes se refermaient doucement à chaque déplacement, comme si une divinité avait laissé passer les voyageurs, mais qu’il ne voulait gâcher la beauté de son royaume.
Même pendant la nuit, le sable blanc reflétais vivement une lueur blanche magnifique. Il y avait certains animaux qui regardaient les voyageurs passé en outre des scorpions, des animaux que Wallace n’avais jamais vu au pare alors. Au loin, sur le plateau qui entourait le désert, on pouvait apercevoir des autruches qui voyagent à haute vitesse à travers le désert.
Wallace n’avais jamais vu de tel spectacle, à chacun des heures qui s’écroulais il était émerveillé des choses qui se produisais.
D’ailleurs à un certain moment le duo aperçu des ruines, probablement d’une vielle civilisation, qui avait perdu une guerre. Le sommeil était trop lourd, le duo, accosta aux ruines, montèrent un feu et les tentes et commencèrent à manger et à parler plus librement que sur la route.
Mais au tour du feu de camps, Wallace était toujours un peu silencieux. Il était toujours en deuil de la perte de sa terre natale, il avait même envie de pleurer, mais il se retenu et voulu se changer les idées, il manga du pain et bu un peu d’eau commença une conversation avec l’ange.
- … Vous êtes déjà venue ici ? Est-ce que vous connaissez quelque chose à propos de ses ruines ?